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“On dit toujours partiellement ce que l’on représente mais pas qui l’on est vraiment.” “Je suis difficilement définissable, se définir pour moi c’est se limiter. Pour moi quand on se définit on cherche à rentrer dans un cadre on cherche à rentrer dans un moule. On se définit souvent par des appartenances à des corps professionnels ou à une appartenance sociale qui ne révèle pas forcément la plénitude de ce que nous sommes.” Hello à tous et bienvenue dans ma conversation avec Roughiatou Thiam CISSE. Définir Roughiatou c'est comme elle le dit elle même très difficile car c’est une femme avec plusieurs casquettes. Grande entrepreneuse, elle est également passionnée par le développement personnel, le coaching, la photographie ou encore la céramique. Quand on a une personne comme elle en face, il est très difficile de parler simplement d’entrepreneuriat. Du coup nous avons fait mieux que ça, nous avons parlé de la vie en général de comment aller à la rencontre de son soi, embrasser son multipotentialité, toujours continuer à se construire pour aller à la rencontre de son soi, aller vers comme elle le dit si bien, vers ce vers quoi l’univers nous appelle. Enregistré en plein confinement, cette conversation m’a marqué, sa personne ma marqué et surtout elle m’a permis de déculpabiliser sur beaucoup de choses. L’écouter nous donne le sourire mais aussi nous pousse à réfléchir sur ce que l’on est, notre place dans le monde, qu’est ce qui nous définit, doit on forcément chercher à nous définir par une appartenance ? Ne devons nous simplement pas nous laisser guider par la découverte de notre soi et de prendre le temps de regarder ce qui se passe sous nos paupières ? C’est sur ces questions que je vous laisse aller écouter notre échange. Bonne écoute, et si l’épisode vous a plu, n’hésitez pas à le noter sur vos différentes plateformes d'écoute et me laisser votre avis. N’hésitez pas également à nous suivre sur Instagram : @transition_podcast ! Margot.

« Les femmes que nous sommes travaillons. On n’attend plus d’être juste à la maison pour pouvoir cuisiner. » « On a mis beaucoup de rigueur au début, on a mis beaucoup d’énergie, on a beaucoup travaillé et donc on a su mettre les bons outils en place, avec beaucoup de technologie digitale, ce qui nous permets de bien contrôler à distance et de libérer plus de temps, pour le remplir d’autre chose. » « A nous aussi citoyens d’agir et de prendre des mesures, on a pas le choix. » Bienvenue dans ma conversation avec Maha Baalbaki. Maha Baalbaki c’est une maman, une femme, une cheffe d’entreprise mais surtout une personne passionnée et engagée. Issue d’une carrière dans la finance, cette dernière décide de se lancer dans l’entrepreneuriat avec son mari après s’être trouvée au chômage suite à la seconde crise financière du début des années 2000. Même si tout a commencé par un choix, celui de sauter le pas et de se lancer dans un secteur qui ne leur était pas destiné : la restauration rapide. La décision de se lancer dans cette nouvelle aventure avec un nouveau né dans l’équation s’est surtout faite avec : beaucoup de rigueur de travail et une détermination sans faille. Aujourd’hui à la tête de Yum Yum, une chaine de restauration rapide spécialisée dans la pizza. Elle a décidé aussi d’avoir un vrai engagement citoyen avec l’association Ecolibri au sein de laquelle elle met sa passion pour les questions environnementales au service d’actions ciblées ayants un impact social et environnemental dans les zones périurbaines de Dakar. Vous l’aurez compris, dans cet échange sincère et passionnant avec Maha Baalbaki, nous avons parlé d’entrepreneuriat, de choix, d’équilibre entre ses rôles de : maman, femme et cheffe d’entreprise, de comment faire sa part, de responsabilité ou encore d’engagement citoyen. Le parcours de Maha Baalbaki, sa passion ainsi que son engagement sont une vraie source d’inspiration. Je vous donc laisse avec notre échange pleine d’énergies positives qui va donner j’espère l’envie vous aussi de faire votre part. Si vous souhaitez en savoir plus sur l'association Ecolibri c'est par ici :https://web.facebook.com/pg/ecolibrisenegal/about/?ref=page_internal Bonne écoute, et si l’épisode vous a plu, n’hésitez pas à le noter sur vos différentes plateformes d'écoute et me laisser votre avis. N’hésitez pas également à nous suivre sur Instagram : @transition_podcast ! Margot.

« J’ai un goût pour la transgression assez élevé. » « J’avais une quête de liberté, une soif de liberté assez vorace. Je voulais pouvoir tout faire et tout dire, et ça continue encore. » « J’ai compris avec l’art et la culture, et grâce à mes professeurs au lycée, que la différence était un atout. C’était toujours une force dans les sociétés où l’on vivait. C’est avec ça qu’on marque les esprits, qu’on édifie les choses. » Bienvenue dans ma conversation avec Océane Harati. Liberté, choix, multi culturalité, responsabilité, détermination, audace. Océane, c’est l’incarnation de tous ces mots clés et bien plus. Aujourd’hui à la tête de OH Gallery, Océane c’est surtout une jeune femme passionnée d’art, d’art africain, qui utilise l’art et la culture pour faire tomber les privilèges et surtout en faire des vecteurs de cohésion et de mixité. Au départ, Océane était destinée à une carrière de pharmacienne. Toutefois des rencontres clés vont venir tout chambouler. La première est celle avec la littérature. Elle fut l’occasion pour elle de s’affirmer, d’affirmer ses choix dès l’âge de 15 ans. Le choix de ne pas suivre la voie tracée par ses parents, mais la sienne, guidée par son intuition et sa passion naissante pour la littérature. Par la suite, les rencontres avec ses professeurs vont venir lui rappeler que sa différence, la différence était un atout dans la société et l’environnement dans laquelle elle évoluait. En effet, Océane est le fruit d’un métissage de par ses origines sénégalaise, française, libanaise, vietnamienne et flamande. Ce métissage, elle va en faire une force, mais surtout une des valeurs fondamentale de OH Gallery des années après. Pour finir sa rencontre avec feu Claude Everlé va la plonger dans l’art africain et changer sa vie. Pour savoir comment, je vous invite à aller écouter notre passionnante conversation. Une conversation franche et sincère où nous avons pris le temps de retracer son parcours sans tabous ni langue de bois. N'hésitez pas non plus à aller à sa rencontre pour voir le magnifique travaille qu'elle réalise avec OH Gallery. Voici son site web https://www.ohgallery.net/ . Bonne écoute, et si l’épisode vous a plu, n’hésitez pas à le noter sur vos différentes plateformes d'écoute et me laisser votre avis. N’hésitez pas également à nous suivre sur Instagram : @transition_podcast ! Margot.