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OlivierRebiere.com

10 Episodes

70 minutes | 5 years ago
Le COMING OUT de l’auteur/e
Voici la bande audio de la première émission “de la plume… à la UNE !” organisée avec ma complice Laure Lapègue où nous accueillons notre invitée spéciale, l’auteure et scénariste Stéphanie Aten. Le thème de la conversation était “le coming out de l’auteur/e”. Retrouvez aussi l’intervention de Morgane Pinon à la 38ème minute. Rejoignez la communauté Google+ FANEL, Formateurs et Auteurs Numériques En Ligne
3 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: récapitulatif général
Fiction: récapitulatif général de la formation Écrire de la fiction, c’est une vraie aventure. C’est aussi un projet personnel complexe qui s’étale sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Voir toute la transcription du podcast... Il y a quantité de méthodes qui existent sur le marché et celle que vous venez de suivre dans cette formation vous permettra, j’en suis persuadé, d’écrire votre propre fiction en un mois. Vous obtiendrez un manuscrit qui certes nécessitera un travail d’édition, mais vous pourrez constater que vous aurez créé vous-même en peu de temps une fiction de qualité. Le système que je vous ai décrit repose essentiellement sur trois temps, trois phases majeures qui chacun ont leur instrument spécifique, un peu comme un charpentier choisit l’outil spécifique pour une tâche spécifique. Nous avons vu ainsi : la carte mentale, qui permet de générer rapidement des idées que l’on note sous forme de bulles concentriques et à structure arborescente. Vous pouvez utiliser quatre axes de développement majeurs pour organiser vos idées : les personnages, les lieux, les objets ou la chronologie. Alternativement, la méthode du “flocon de neige” développée par Randy Ingermanson privilégie le synopsis et les personnages pour axes de developpement de votre fiction. Choisissez celle qui vous convient le mieux. la structure scénique, qui traduit en quelque sorte sur un tableur votre création “moléculaire” de la carte mentale en une base de données simple et souple, linéaire, qui pose les jalons de votre travail d’écriture et pratiquement tous les paramètres nécessaires. La structure scénique contient toutes les données factuelles nécessaires pour votre fiction. En principe vous n’aurez plus à revenir à votre carte mentale et compléterez les onglets au fur et à mesure que les détails pertinents de votre univers viendront à votre esprit. le manuscrit, C’est bien entendu là que s’exercera votre travail d’écriture, stylistique, vos talents de scénariste et de magicien ou magicienne pour créer de puissantes émotions dans l’esprit de vos lecteurs, ce pour quoi ils ont “payé” en quelque sorte. Vous avez accepté le job de leur donner du bonheur et à mon avis c’est un des plus beaux métiers du monde Nous avons vu aussi comment travailler collaborativement sur votre fiction car ce n’est désormais plus une aventure en solitaire. Vous pouvez demander de l’aide à vos amis, à d’autres auteurs ou à un coach littéraire comme moi pour progresser Écrire de la fiction, c’est donner du bonheur aux gens, les faire vibrer et quelques fois transformer leur quotidien et leur vie. C’est un beau métier, une mission que vous vous êtes donnée et pour laquelle je vous félicite. J’espère que les conseils que j’aurais pu vous donner lors de cette formation vous auront été utiles. J’ai mis beaucoup de mes tripes et de mon expérience dans ces vidéos et j’espère qu’elles vous auront plues. Si vous avez des questions ou des remarques, n’hésitez pas à utiliser la zone de discussion d’Udemy pour communiquer avec moi. Merci encore d’avoir suivi cette formation ! Je vous souhaite tout le génie et l’inspiration possible pour l’écriture de votre fiction en un mois ! Que la muse vous accompagne et soit avec vous Et peut-être à bientôt dans d’autres formations ! Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
5 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: récapitulatif section 2
Fiction: deuxième récapitulatif Félicitations ! Vous venez de terminer la section consacrée à l’écriture. Comment écrire vite, avec plaisir, tout en stimulant sa motivation au quotidien. Alors faisons un petit récapitulatif de tout ce que vous avez assimilé durant cette section. Voir toute la transcription du podcast... Nous avons d’abord commencé par étudier la “structure scénique”, une base de données simple et souple créée sur Google Sheet qui nous a permis de “traduire” en quelque sorte le résultat de notre créativité “moléculaire” générée sur la carte mentale. Cette structure scénique remplit deux fonctions : c’est une sorte de plan de vol qui reprend ligne par ligne la suite de vos scènes avec toutes les informations utiles pour savoir ce qu’il vous faut écrire, scène par scène. On y retrouve par exemple le numéro et le titre de la scène, le personnage actif, la description de la scène, son lieu. On sait aussi si la scène est active ou réactive la structure scénique est aussi un journal de bord car on peut y consigner les progrès d’écriture quotidiens Enfin, on peut utiliser cette base de données pour écrire tous les détails concernant les lieux ou les objets. Sur le même modèle, vous pourrez créer d’autres onglets. Nous avons ensuite défini des objectifs SMART, un acronyme emprunté au management de projet pour des objectifs Spécifiques, Mesurables, Acceptables, Réalistes et Temporellement définis. Si vous vous rappelez bien, je vous ai présenté le “stimulateur graphique”, un ensemble de courbe et d’histogrammes qui vous aidera à comprendre votre progression et améliorer votre puissance d’écriture. À mon avis, le stimulateur vous aidera à vous améliorer et à rester motivé. Vous apprendrez beaucoup sur vous-même avec ces petits dessins Nous avons vu aussi comment réduire ses objectifs de façon réaliste en cas de “scénario catastrophe”, que ce soit en terme de mots à écrire, ou de délai à respecter. Pour bien écrire de la fiction, il faut être honnête avec soi-même, connaitre ses forces et ses faiblesses pour vraiment prendre du plaisir Le plaisir d’écrire était aussi l’objet d’une autre leçon de cette section. Il ne faut pas avoir peur de se “conditionner” pour bien écrire, un peu comme un athlète qui se concentre et se met en condition avant une épreuve importante. Car écrire est une aventure qui dure des semaines, voire des mois. Je vous ai conseillé de bien choisir et aménager votre lieu d’écriture. De prendre du temps pour vous et de prévenir votre entourage de votre effort. C’est bien aussi de se préparer une ambiance sonore avec différents genres de musique qui vous stimuleront selon la scène à écrire. Je vous ai donné quelques trucs et astuces pour modifier votre environnement de travail sur Google Docs. Je pense que c’est important d’avoir un décor qui vous plaise : un sous-main, une couleur ou une texture de papier, même virtuel. Ces détails sont importants pour augmenter votre plaisir au travail. Nous avons abordé l’écriture jour après jour. L’idée était dans ce cours de voir concrètement comment on peut choisir d’écrire une scène plutôt qu’une autre et suivre ses envies. Je vous ai parlé du triangle motivationnel créé par Rachel Aaron pour augmenter sa puissance d’écriture. Si vous possédez le savoir, l’enthousiasme, et mesurez le temps passé à écrire vos scènes, vous progresserez et écrirez de plus en plus. Vous serez touché(e) par la grâce certains jours et dépasserez allègrement vos objectifs, comme nous l’avons vu sur le stimulateur graphique Acceptez aussi le fait que vous n’êtes pas une machine et qu’il y aura des jours ou vous serez en panne. Alors utilisez ce temps de façon constructive et surtout, ayez une attitude positive. C’est nécessaire pour écrire de la fiction ! Enfin, nous avons parlé du travail collaboratif, la formule magique en quelque sorte pour encore multiplier le résultats de vos efforts dans l’écriture de fiction. Grâce aux outils que je vous ai présentés : l’excellente application en ligne “mindmup”, “Google Sheet” et “Google Docs”, vous pourrez demander à des amis, d’autres auteurs ou un coach littéraire comme moi de vous aider à dépasser certaines difficultés et à vous améliorer. Alors, arrêtez de penser que vous êtes seul à écrire, vissé sur votre chaise. Vous pouvez collaborer avec d’autres auteurs comme vous, et ce n’est plus de la science-fiction Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
11 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: le travail collaboratif
Fiction: travail collaboratif Écrire de la fiction est souvent une aventure solitaire. Mais c’est de moins en moins vrai : des événements collectifs comme le Nanowrimo ou des colloques d’auteurs sont autant d’occasions sympas de changer complètement les choses et d’inventer ensemble une belle fiction. Voyons comment les outils que nous avons vus précédemment peuvent parfaitement s’intégrer dans une vision collaborative de l’écriture de fiction. Voir toute la transcription du podcast... C’est vraiment formidable de ne pas être complètement seul lors de l’écriture d’une fiction. Vous pouvez demander à des amis de vous aider à relire, corriger ou éditer. Vous pouvez faire appel à un coach littéraire et auteur comme moi qui connaît vos difficultés et saura faciliter en vous les différents processus et vous faire progresser. J’affectionne particulièrement ce cours parce que je pense que c’est un peu l’avenir de la fiction. D’ailleurs de nombreuses séries télévisées sont écrites collaborativement par des scénaristes. Alors nous verrons ensemble comment : collaborer au niveau de la carte mentale : c’est tout à fait réalisable, et en temps réel, grâce à l’application en ligne “mindmup” dont nous avons abondamment parlé collaborer au niveau de la structure scénique : en effet cette base de données peut vous sembler un peu aride bien que j’aie essayé de la simplifier au maximum, et vous aurez peut-être besoin d’aide pour organiser un peu les choses collaborer au niveau du manuscrit. Il me semble que c’est le niveau le plus évident de collaboration : il y a des bétalecteurs, des bétalectrices qui seront sans doute ravis de vous assister dans votre processus d’écriture. Si vous débutez dans la fiction, ce sera un moyen formidable de progresser, croyez-moi Je ne cesse de m’étonner devant les prouesses réalisées par les développeurs qui nous permettent vraiment de travailler ensemble et de créer encore mieux. J’en profite pour rendre hommage aux créateurs de “mindmup” qui à mon humble avis font un super boulot. Je vais vous montrer quelques captures d’écran avec à gauche une session de Google Chrome ouverte sous mon nom, et à droite une autre session ouverte avec une session sous le nom de Cristina, mon épouse et aussi co-instructrice de la présente formation. Prêts ? Allez, on y va. Alors voilà, à gauche vous avez bien ma session comme en témoigne mon adresse email au niveau de la flèche rouge. Sur la moitié de droite nous avons bien la même carte mentale mais cette fois accédée en temps réel par Cristina. Admettons que Cristina veuille rajouter une bulle à la bulle “OBJETS”. Elle va taper par exemple “Armures soldats” car en effet les armures blanches des soldats de l’Empire sont tout à fait caractéristiques. Pendant qu’elle crée et édite cette nouvelle bulle, au niveau de la flèche rouge, à gauche, chez moi, une bulle temporaire apparaît au niveau de la flèche verte. Ce n’est qu’après avoir validé la création de la nouvelle bulle à droite – voir flèche rouge – soit en tapant sur “ENTRÉE” soit en cliquant ailleurs, que la nouvelle bulle apparaît AUSSI à gauche, dans MA session. Immédiatement, en temps réel. Ainsi, toutes les opérations d’édition peuvent être réalisées sur votre carte mentale partagée par la personne de votre choix : elle pourra ainsi vous aider à réorganiser, à colorer, à ajouter des informations, etc. Je vous conseille de faire auparavant une sauvegarde sous un autre nom en cas de problème, pour pouvoir récupérer ces données. Comme vous le voyez, travailler collaborativement avec “mindmup” est possible et c’est vraiment très puissant. Ici on utilise “Google Sheet”, le tableur en ligne créé par Google et auquel vous pouvez accéder grâce à votre compte gmail. Vous l’aurez compris, compte-tenu de la renommée de Google en la matière l’expérience collaborative sera donc très riche, je dirais presque même “naturelle”. Voyons cela avec notre structure scénique, avec encore une fois à gauche une session “Olivier”, et à droite une session “Cristina”. Comme vous pouvez le voir, sur mon écran de gauche je constate que Cristina accède en ce moment-même au fichier “Google Sheet” car je vois sa photo en clair, au niveau de la flèche verte du haut. De même à droite, Cristina voit ma photo car je suis aussi en même temps sur ce même fichier. Si vous constater une photo légèrement voilée, comme dans du brouillard, c’est que la ou les personnes avec qui vous avez partagé le fichier “google sheet” y a bien accès, mais n’est pas actuellement en train de travailler dessus. Admettons que Cristina veuille changer le titre de la scène 2 inititulée “chaos”, au niveau de la deuxième flèche rouge à droite, au milieu. Vous voyez tout de suite à gauche, sur ma session, que la cellule sélectionnée par Cristina est entourée de rose fusshia, la couleur symbolisant Cristina comme on le voit sur la bande colorée sous sa photo miniature à gauche. De façon similaire à ce que nous avons vu dans le cas de la carte mentale sur l’application “mindmup”, ici Cristina va remplacer le mot “chaos” par “pagaille”, par exemple. Pendant l’édition par Cristina, à droite au niveau de la flèche rouge, tout se passe normalement alors qu’à gauche, dans ma session, je constate que la cellule est voilée de blanc, au niveau de la flèche verte. Je peux donc en déduire que quelque chose se passe dans cette cellule éditée par Cristina car la cellule est entourée de la couleur rose fuschia. Et voilà !  De la même manière, dès que Cristina a validé sa modification à droite au niveau de la flèche rouge, soit en tapant “ENTRÉE”, soit en cliquant ailleurs sur la feuille de calcul, le nouveau contenu apparaît presque immédiatement à gauche dans ma session, au niveau de la flèche verte. C’est presque magique ! En fait vous vous rendrez compte que c’est très rassurant de voir que quelqu’un peut intervenir pour vous aider avec des corrections ou de bonnes idées. Encore une fois, n’oubliez pas de faire une copie de sauvegarde avec un autre nom pour ne pas tout perdre en cas de problème. De la même manière, comme vous l’avez compris désormais, examinons comment s’entraider au niveau du manuscrit. Je vous conseille d’écrire et d’éditer votre manuscrit sur “google docs”. Vous pourrez toujours télécharger votre manuscrit provisoire pour le travailler localement au format que vous désirez : pdf, odt, docx, txt, etc. surtout pour l’édition finale. “Google docs” est sans doute l’application où vous pourrez collaborer le plus car c’est là où il faut être le plus attentif au style, à l’orthographe, aux répétitions, aux inadvertances, anachronismes, etc. Et, comme le cordonnier est toujours le plus mal chaussé, on a plutôt du mal à s’éditer et se corriger soi-même. Voyons donc quelques astuces pour vous aider à collaborer efficacement au niveau de votre manuscrit. Tout d’abord, je vous conseille de bien faire attention au niveau de partage de votre manuscrit. Sur Google Drive, vous pouvez partager un fichier et choisir le “niveau de partage”. Lorsque vous cliquez sur la petite icône avec le signe “plus” à côté du buste d’un petit personnage, ce qui représente le partage de votre fichier, ici avec la flèche verte, un petite fenêtre s’affiche avec un menu déroulant. Vous y inscrivez l’adresse gmail de votre ami, partenaire ou coach littéraire, puis choisissez l’option “commentaire” avec la flèche rouge. De cette manière, la personne que vous avez choisie pourra faire des rajouts sur votre document, sans l’éditer pour autant. Vous pouvez même choisir le niveau “lecture” où elle ne pourra faire aucune modification. Le niveau “modification” offre les même privilèges que les votres. Encore une fois, je préconise le niveau de partage “commentaire” pour votre manuscrit. Les diapositives qui vont suivre illustrent cet état de fait. J’ai partagé mon document avec Cristina pour lui demander de corriger mes erreurs et de faire des suggestions sur mon texte. Voici donc par exemple la situation initiale. Vous êtes habitué maintenant : à gauche ma session avec mon manuscrit et mon décor personnalisé, à droite la session de Cristina et son décor préféré sur Google Docs. Sur la flèche rouge tout à fait à droite, on observe que Cristina est bien en mode “suggestion” : c’est ce que veut dire la petite icône blanche sur fond vert foncé. La deuxième flèche rouge, légèrement au milieu, montre le curseur de Critina et on peut lire une info-bulle en blanc sur fond vert-foncé : “Mode suggestion activé. En conséquence, tout ce qu’écrira Cristina sur mon texte sera une suggestion, non définitive, que je pourrai approuver ou non. Observez s’il vous plaît à gauche, au niveau de la flèche verte, le curseur de couleur rose fuschia au tout début du texte. Il m’indique où se trouve actuellement le curseur de Cristina dans sa session à elle ! Je peux ainsi suivre en temps réel SON travail sur MON texte. C’est pas formidable, ça ? Moi je trouve toujours cela génial, même si cela fait désormais partie de mon travail quotidien. Admettons que Cristina veuille faire une remarque sur mon texte. Elle souhaite commenter le choix du mot “reptile” dans la première phrase. Pour cela, elle sélection le mot “reptile”, ce que je constate sur mon écran, à gauche, et choisit de “commenter”. Pour commenter, on peut soit faire un “clic droit” puis on sélectionne “commenter” sur le menu contextuel, ou alors on appuie sur CTRL+ALT+M. Elle écrit son commentaire… … et après validation, son commentaire apparaît chez moi et je peux y répondre. Elle lira ma réponse et pourra éventuellement y répondre de nouveau, comme sur un tchat, en fait. Ces commentaires n’apparaissent pas dans le texte, mais sur la marge de droite, sous forme de bulles qui se placent automatiquement. Une fois qu’un commentaire a été solutionné, vous pouvez l’effacer complètement et la bulle correspondante disparaît. Pour effacer un commentaire cliquez sur le bouton bleu “Fermer la discussion” de la bulle de commentaires respective. Admettons maintenant que Cristina veuille complètement changer une phrase de mon texte pour l’améliorer. Là elle va écrire DIRECTEMENT sur le texte en “écrasant” le texte précédent, qui cependant ne disparaît pas. Le texte précédent est poussé vers la droite et le nouveau texte que Cristina suggère est mis en évidence par deux lignes horizontales vertes, au-dessus et en-dessous du texte qu’elle suggère. On le voit bien au niveau de la flèche rouge, sur l’écran de droite. À gauche, sur mon écran, on voit le nouveau texte suggéré apparaître et mon texte est barré. Si je maximise ma session de travail, voilà ce qui apparaît. Regardez bien : à droite la bulle de modification suggérée par Cristina apparaît. Je peux y répondre, comme dans le cas précédent, avant quoi que ce soit. Je peux aussi accepter sa modification, en cliquant sur l’icône “cocher” sur la gauche, ou rejeter sa modification, en cliquant sur l’icône “refuser” sur la droite, avec une croix… Dans cet exemple j’ai accepté la modification de Cristina, et le manuscrit est donc changé en conséquence. Immédiatement. Cristina est aussi informée de ma décision, par email. Voilà comment on peut multiplier sa puissance de travail pour la création et l’écriture de fiction grâce au travail collaboratif Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
9 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: l’écriture, jour après jour
Fiction: écrire au jour le jour avec plaisir et motivation Voyons maintenant comment écrire votre fiction et surtout rester motivé jour après jour. Voir toute la transcription du podcast... Rester motivé(e) durant des semaines est sans doute la partie la plus difficile lorsqu’on écrit de la fiction. Voici les conseils que je vous donne : écrire les scènes qui vous inspirent. Cela peut paraître peu orthodoxe, mais c’est une bonne solution. utiliser le “triangle d’écriture” inventé par Rachel Aaron pour démultiplier votre puissance d’écriture savoir quoi faire en cas de panne utiliser le “google doc” pour écrire son manuscrit utiliser les onglets “Journal” et “Stimulateur” sur la structure scénique du fichier “Google Sheet” que nous avons décrit précédemment pour mesurer ses progrès et comprendre les difficultés éventuelles L’un de vos pires ennemis lorsque vous écrivez de la fiction est, outre la procrastination et le sentiment de faire trop de choses à la fois, l’épuisement psychique. Mais vous pouvez désormais compter sur votre structure scénique : elle est votre plan de vol, vous connaissez les étapes que vous devez parcourir, vous connaissez la destination. Donc, libre à vous, lorsque vous commencez votre session d’écriture de la journée, d’écrire la ou les scènes qui vous inspirent. Si vous êtes d’humeur ou “dans le mood” comme on dit, vous avez certainement une scène qui vous appelle : une confrontation épique entre votre héros et sa némésis, une scène romantique, ou alors pourquoi pas, une scène de bataille, etc. Écoutez donc la petite voix qui parle en vous et n’hésitez pas d’écrire la scène numéro 34 avant toutes les autres, si elle vous le fait savoir Et, si vous êtes dans un jour de grâce où tout vous réussit, n’hésitez pas à déborder largement votre objectif de la journée pour compenser avec les jours où vous serez moins inspiré(e) Je vous conseille d’utiliser le triangle motivationnel créé par Rachel Aaron dont je vous donne les références en ressources. L’idée est en fait, pour développer sa puissance d’écriture, de réunir trois ingrédients : le savoir, c’est à dire savoir ce que vous allez écrire AVANT de l’écrire : utilisez tout simplement les informations de la scène dans votre structure scénique sur la ligne correspondante : vous saurez quel est le personnage principal, le lieu, l’objectif ou encore le choix si la scène est active ou réactive, rien du tout si elle est simplement narrative ou explicative le temps, c’est à dire qu’il vous faut suivre votre productivité pour l’évaluer, ce que vous pourrez faire facilement avec les onglets “Journal” et “Stimulateur” que nous verrons un peu plus loin dans ce même cours l’enthousiasme : soyez motivé(e) par ce que vous allez écrire. C’est important donc de ne pas hésiter à choisir une scène qui vous inspire plutôt qu’une autre. Pensez aux lecteurs qui se délecteront de votre histoire. Inévitablement, vous serez en panne certains jours. Essayez d’écrire mais ne vous forcez pas au point de vous en dégoûter. Faites plutôt du travail organisationnel : améliorez votre structure scénique, préparez certaines scènes en complétant les colonnes “actives” ou “réactives”, faites du travail d’édition en corrigeant les fautes d’orthographe, de style ou confiez cela à un ami. Vous pouvez aussi corriger certains passages un peu faibles et les améliorer. Allez faire un tour, faites du sport, aérez-vous. Il faut accepter que vous n’êtes pas une machine et que vous aurez des journées moins productives que d’autres. Chacun a ses petits trucs, ses petits plaisirs et vous apprendrez aussi à vous apprivoiser Voyons maintenant comment écrire au jour le jour votre manuscrit. Sur Google Drive, vous pouvez créer un nouveau document “Google Doc” à partir de l’interface que vous ouvrez sur votre navigateur Google Chrome. Si vous ne savez pas comment y accéder, tapez l’adresse suivante : “drive.google.com/drive/my-drive”. Il faudra vous enregistrer avec votre compte gmail et votre mot de passe. Gardez-les donc à portée de main. Ensuite, appuyez sur le gros bouton rouge “NOUVEAU”, en haut à gauche. Choisissez ensuite “google Docs” dans le menu déroulant pour créer un nouveau fichier texte. Une fois le fichier créé, il apparaît dans un nouvel onglet de votre navigateur Google Chrome. Je vous renvoie au cours “prendre du plaisir à écrire” pour personnaliser votre environnement. Ici j’ai choisi mon décor inspirant avec mon sous-main couleur bordeaux et mon dragon… Plus prosaïquement, voici quelques trucs que je vous donne pour faciliter votre travail d’écriture jour après jour. Tout d’abord, avant d’écrire chaque scène, créez une sorte de hashtag avec le numéro de la scène, suivi du titre de la scène. C’est ce que je vous montre au niveau de la flèche verte. Lorsque vous créez ce petit ajout temporaire dans votre manuscrit, ne mettez pas d’espace et remplacez-les par des traits de soulignement, ceci afin que l’ensemble de ce “super mot composé” ne compte que pour un seul mot en fait. Cela ne faussera pas trop vos statistiques journalières d’écriture. Il y aura donc autant de petits “hashtags” que vous créerez de scènes, et vous pourrez ainsi facilement naviguer dans votre manuscrit d’une scène à l’autre. Vous effacerez ces petits repères lorsque vous éditerez votre manuscrit final, avant publication sur Amazon ou CreateSpace par exemple : vous pourrez utilement suivre la formation que je propose à ce sujet à un tarif avantageux. Rendez-vous dans la leçon bonus à la fin de cette formation Je disais qu’il est utile de naviguer facilement dans un long manuscrit. Si vous formattez vos numéros et noms de scène avec un style “Titre 3” par exemple, il sera aisé de les mettre en évidence et d’y accéder. Pour cela, sur Google Doc, vous pouvez installer ce que l’on appelle des modules complémentaires : ce sont des petits programmes mis au point par des développeurs indépendants et qui rajoutent des fonctionnalités diverses et variées au programme de base proposé par Google. C’est un peu comme les applications que vous rajoutez à la configuration initiale de votre smartphone Android ou votre iPhone. Ainsi, utilisez le module complémentaire “Document Navigator” pour vous déplacer facilement entre les chapitres et les scènes de votre fiction. Vous pouvez voir qu’une fois activé, la structure linéaire en chapitres et scènes apparaît sur la droite. Ce sont des liens auxquels on peut accéder en cliquant avec la souris. Simple. Efficace. Voyons maintenant comme suivre votre progression jour après jour sur votre structure scénique contenue dans une “Google Sheet”. De retour sur votre Google Sheet contenant la base de données de votre structure scénique que nous avons étudiée lors d’une leçon précédente, vous pouvez accéder à l’onglet “Journal”. Comme son nom l’indique, c’est là que vous allez noter jour après jour les mots que vous écrivez et à partir duquel sera généré le fameux “stimulateur graphique”. Les calculs se font semi-automatiquement sur cette feuille de tableur. Vous devrez peut-être modifier quelques cellules, c’est pour cela que je vous expliquerai comment la paramétrer. Sur ce grossissement, on voit un peut mieux les données que vous pouvez éditer vous-même : la date de début de création de votre fiction (ici le 1er janvier 2016), puis l’objectif en mot (ici 50.000). Vous pouvez écrire aussi le nombre de jours que vous vous fixez  (ici 30) et la date de fin sera calculée. Ensuite vous inscrivez jour par jour le nombre de mots cumulés dans la colonne écrit. Vous pouvez aussi écrire dans la colonne “infos stimulateurs” des informations qui apparaîtront sur le graphique. Voyons maintenant ce que ce tableau peut donner visuellement en matière de courbes et d’histogrammes. Nous voici donc sur l’onglet “Stimulateur”, celui qui va vous permettre de facilement mesurer votre progression et l’atteinte de votre double objectif en terme de temps limite et de mots. On y voit donc en rouge la ligne de votre objectif de mots par jour, compte-tenu de votre objectif global. En bleu on reconnait le cumul de vos mots écrits par jour. Ne vous inquiétez pas, je ferai un grossissement. En mauve, j’ai rajouté des histogrammes avec des libellés permettant de connaître facilement le nombre de mots écrits par jour, non cumulés. En noir on voit des informations temporelles représentées verticalement : ce sont par exemple la fin de vos phases de préparation, vos chapitres, en bref toute information qui vous semble pertinente pour vous aider à bien suivre la progression de votre effort créatif et scriptural. Voilà donc un agrandissement de cette courbe où l’on voit cette fois clairement les informations pertinentes. Cerise sur le gateau, une colonne verte s’affichera pour bien symboliser le jour d’aujourd’hui, comme sur cet exemple. Cela vous permettra de visualiser rapidement où vous en êtes d’un point de vue temporel si vous n’avez pas actualisé les données pendant quelques jours. Voilà donc les différents outils motivationnels, graphiques et visuels qui vous aideront je l’espère à écrire jour après jour en restant motivé Passons maintenant à la suite de la formation, si vous le voulez bien. Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
6 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: prendre du plaisir à écrire
Fiction: prendre du plaisir à écrire Pour transmettre des émotions à vos lecteurs, entrer en télépathie avec eux au-delà du temps et de l’espace, il faut que vous preniez du plaisir à écrire pour donner du bonheur. Voir toute la transcription du podcast... Prendre du plaisir à écrire, ce doit être votre but, un élément du cercle vertueux qui vous aidera à écrire de la bonne fiction, avec la discipline et la volonté. Pour cela nous verrons qu’il faut d’abord se mettre dans de bonnes conditions environnementales, puis nous verrons la forme du manuscrit “google doc” proprement dit, sur ordinateur, car cela peut jouer beaucoup sur votre plaisir d’écrire. Il est important en fait de vous conditionner pour écrire. C’est à dire de réunir des conditions favorables pour vous mettre de bonne humeur, avec l’envie de travailler, de créer. La première chose, c’est d’avoir un lieu d’écriture privilégié : un endroit calme, un bureau, une chaise confortable, un ordinateur portable, une machine à écrire ou des feuilles et un stylo-plume, comme vous le sentez. Faites-vous plaisir. Certains d’entre vous pourront écrire dans un café, un restaurant, ou avec d’autres auteurs comme lors d’un atelier d’écriture ou d’un Nanowrimo en novembre de chaque année. Encore une fois, faites-vous plaisir : écrire de la fiction doit être un bonheur pour vous. Ensuite, il faut vous aménager du temps à vous. Pour écrire. Parlez de votre projet à vos proches et dites-leur que pendant quelques semaines vous vous isolerez au calme pour travailler. Beaucoup d’auteurs apprécient d’écouter de la musique pendant qu’ils écrivent. Bernard Werber, l’auteur de la trilogie mondialement célèbre des “fourmis” et de beaucoup d’autres romans, nous informe souvent à la fin de son ouvrage des morceaux musicaux qui ont l’ont aidé. Ses goûts sont très éclectiques et sans doute que les votre aussi. C’est parfait ! Vous pourrez donc varier les styles en fonction de la scène ou des scènes que vous voudrez écrire. Par exemple j’ai observé que la musique baroque m’aide beaucoup à écrire des passages narratifs, le disco me stimule pour créer la structure scénique, la musique de film d’aventure m’inspire pour les scènes d’action, etc. Faites aussi des tests et vous verrez que cela vous aidera beaucoup. Vraiment. N’oubliez pas de mettre un casque pour ne pas déranger votre entourage ou vos voisins. De plus, cela vous permettra de vous isoler pour mieux vous concenter. Si vous n’avez pas encore de compte gmail, je vous recommande d’en créer un. Vous pourrez ensuite facilement créer des documents et les partager sur internet avec certaines personnes que vous aurez choisies. Ce qui va suivre concerne donc la personnalisation d’un fichier manuscrit “google doc” mais si vous ne souhaitez pas utiliser google doc, vous pouvez tout à fait conserver votre logiciel préféré et vous inspirez des idées qui vont suivre. Lorsque vous créez un document “google doc”, voilà en principe ce que cela donne : c’est sobre, efficace, mais c’est un peu grisâtre et tristounet. Si vous avez essayé Scrivener, vous savez qu’il y a une possibilité de personnaliser l’environnement en choisissant les couleurs et une image de fond d’écran. Si l’on accède au menu “Fichier” puis “Configuration de la page”, on peut choisir la couleur de la page, par exemple un jaune paille. Bon, cela m’inspire un peu mieux, mais j’aimerais un truc qui soit beaucoup plus personnalisé, qui me fasse plus plaisir. Alors pour cela je vous conseille d’installer sur votre navigateur Google Chrome une petite extension. Allez sur le “chrome web store” en tapant l’URL https://chrome.google.com/webstore/ puis vous tapez “Stylish” en haut à gauche, au niveau de la flèche verte. Une fois que l’application s’affiche, celle indiquée par la flèche verte, cliquez le bouton bleu “ADD TO CHROME” et acceptez l’installation sur chrome. Vous allez ensuite installer un “style” qui vous permettra de personnaliser complètement votre expérience sur Google doc. Tapez l’URL écrite en rouge : https://userstyles.org/styles/browse/google Ensuite tapez “Linen” au niveau de la flèche verte. Choisissez la première instance, celle montrée par la flèche verte, qui s’appelle “Linen Background for Google Docs”. Ensuite, cliquez sur le bouton que je vous montre grâce à la flèche verte pour installer ce style prédéfini grâce à “Stylish”. Bon, il est temps de revenir à notre document google doc jaune paille. Vous allez pouvoir appliquer les styles installés sur votre document en cliquant sur le bouton “Stylish” avec un grand “S”, que je vous montre avec la flèche verte. Si vous cochez la case “Linen Background for Google Docs”, voilà ce que cela donne. Pas mal, hein ? Maintenant, avec un style un peu plus complexe que vous pourrez trouver en ressources… Là vous pouvez constater que les barres d’outils disparaissent et que le rendu est magnifique, très proche de Scrivener, non ? La texture du papier est gaufrée et c’est vraiment très joli. Pour ma part, j’ai personnalisé mon environnement avec un sous-main de couleur Bordeaux, un papier froissé et un Dragon que j’ai dessiné il y a quelques années… Chacun ses goûts Alors, maintenant c’est à vous de préparer votre cocon de plaisir pour écrire. Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
62 minutes | 5 years ago
BLAB: Rémy Bigot, Comment se propulser sur internet?
Voici la bande audio de mon entretien avec Rémy Bigot, organisé dans le cadre de la communauté Google+ FANEL, Formateurs et Auteurs Numériques En Ligne.
7 minutes | 5 years ago
Ecrire de la fiction avec plaisir et motivation: se fixer des objectifs d’écriture S.M.A.R.T.
Fiction: indicateurs SMART pour écrire avec plaisir et motivation Maintenant que vous avez terminé la structure scénique de votre fiction, il faut passer à la troisième et dernière phase, la plus agréable, à savoir l’écriture de votre manuscrit. Vous allez vous fixer des objectifs S.M.A.R.T. Voir toute la transcription du podcast... Avant d’entamer la phase d’écriture, il faut se fixer des objectifs qui soient en adéquation avec vos propres forces actuelles. Vous ne pourrez progressez dans la fiction que si vous êtes prêt ou prête à commencer doucement avec votre première oeuvre, le temps de trouver vos marques. Ensuite vous irez de plus en plus vite et vous travaillerez bien mieux. Pour l’instant nous allons d’abord comprendre ce que veut dire l’acronyme S.M.A.R.T. Ensuite nous appliquerons les principes S.M.A.R.T. à l’écriture de fiction et je vous décrirai le stimulateur graphique qui vous aidera à garder votre motivation au quotidien. Le mot anglais “smart” veut dire intelligent, futé ou malin en français. L’acronyme vient du management de projet (et vous avez bien compris que planifier et “exécuter” une fiction en quelque sorte, c’est bien gérer un projet complexe, sur plusieurs semaines ou parfois plusieurs mois). Un objectif SMART, c’est un objectif qui est :  Spécifique : “écrire une fiction” Mesurable : le nombre de mots écrits à fixer auparavant (ex: 50.000) Acceptable : vous voulez écrire, personne ne vous y oblige ! Réaliste : il est tout à fait possible de le faire. Ce n’est pas exagéré et pas difficile à atteindre. Temporellement défini : vous vous fixez une échéance ou un intervalle de temps (ex: 1 mois) Le stimulateur graphique va vous aider à rester motivé lors de votre effort d’écriture. Voyons donc comment le créer pour qu’il respecte le principe de l’objectif S.M.A.R.T. Ne vous inquiétez pas, je vous fournirai un fichier au format tableur qui tracera le stimulateur pour vous, mais je veux simplement vous décrire son fonctionnement. Qui dit graphique, dit abscisses et ordonnées. Nous allons d’abord créer un axe horizontal du temps, gradué en jours, car vous écrirez tous les jours un peu. Certains jours vous écrirez énormément, vous verrez Ensuite nous allons créer un axe vertical des “mots cumulés”, c’est à dire le cumul des mots que vous écrirez au jour le jour. Maintenant nous allons nous fixer des objectifs : pour l’axe du temps, nous mettrons le nombre de jours au bout duquel nous voulons impérativement terminer notre fiction. Par exemple trente jours. Nous souhaitons écrire 50.000 mots au final. Notre objectif en rouge se trouvera à l’intersection de ces deux données temporelle (le “T” de SMART et mesurable (le “M” de SMART). à présent nous allons tracer la courbe de la progression théorique. Sa pente, c’est à dire le nombre de mots cumulés à écrire par jour, est égale à 50.000/30, soit 1.667 mots / jour. Lorsque vous commencerez à préparer votre structure scénique durant les premiers jours, vous n’écrirez pas car vous serez en train d’organiser votre fiction. Au bout de quelques jours néanmoins, vous commencerez à écrire quelques scènes et votre courbe de mots écrits, ici en représentée en bleu, commencera à poindre son nez et à se redresser. Par la suite, vous allez écrire un peu plus tous les jours et à un moment donné, lorsque l’histoire commencera à vous mobiliser, à vous plaire, vous passerez certains jours à écrire beaucoup, beaucoup. Vous regarderez votre stimulateur une fois par jour, puis plusieurs fois par jour pour voir si votre courbe bleue se redresse bien et au bout d’un moment vous dépasserez la ligne rouge théorique, vous sentirez que vous possédez une bonne technique pour progresser. Peut-être que vous fatiguerez un peu, vous écrirez moins par jour, mais vous aurez le sentiment d’avoir accompli beaucoup. En fait, comme vous l’avez compris, vous aurez peut-être atteint votre objectif de mots avant le temps imparti comme on peut le voir avec la ligne en pointillés bleus : tout ce que vous écrirez en plus sera un dépassement de votre objectif de mots. Je vous ai montré précédemment un scénario où tout se termine bien. Qu’en est-il si votre stimulateur graphique vous montre plutôt cela, genre “scénario catastrophe” ? Il est peu probable que vous réussissiez en fait à atteindre votre double objectif de mots dans le temps imparti dans ce cas de figure. Cela veut tout simplement dire que vous vous êtes fixé un objectif non réaliste. Pour l’instant. Cela ne veut pas dire que vous êtes nul ou quoi que ce soit du genre, ce n’est pas vrai et vous le savez. Simplement, vous avez voulu trop faire trop vite, et le stimulateur vous le montre. Il va vous permettre de vous corriger, donc de progresser, pensez-y, c’est complètement différent comme attitude. Ayez donc la bonne attitude, celle qui permet d’avancer Alors vous avez deux options très pragmatiques : soit vous diminuez le nombre de mots à atteindre dans le même nombre de jours, comme ici. La ligne rouge se baisse et la courbe bleue passe au-dessus. Vous devez écrire beaucoup moins de mots par jour, et votre objectif est définitivement réaliste. Ce n’est pas du tout de la triche, c’est être honnête avec soi-même. Vous devez l’être pour progresser. Vous obtiendrez donc une fiction beaucoup plus modeste en taille, mais vous ne serez pas frustré et vous fixerez un objectif plus réaliste pour la prochaine fois… Car j’espère bien que vous ne vous arrêterez pas là ! soit vous augmentez le délai pour l’écriture de votre fiction, en vous fixant cette fois un objectif temporel plus réaliste, en l’occurrence plus long. Comme vous le voyez, la courbe bleue s’est contractée, mais comme la ligne rouge va beaucoup plus loin dans le temps avec le même nombre de mots, les deux convergent. Rappelez-vous bien que dans les deux cas, vous apprendrez beaucoup sur vous-même ! Le stimulateur graphique est là pour vous aider, vous motiver, et comprendre quelles sont vos forces actuelles pour mieux les travailler et les augmenter pour vos futures oeuvres. Alors s’il vous plaît, considérez tout ce que vous apprendrez sur vous-même grâce au stimulateur graphique et conservez toujours une attitude positive, c’est votre meilleur allié dans l’écriture de votre fiction Allez, on continue la formation ? Retrouvez la formation complète: Outil Auteurs: Vaincre la Page Blanche, Écrire de la Fiction2 heures de vidéo 19$ (79% de réduction)
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