Aux Adelphes, entre inclusion et militantisme
Audacieux et iconoclastes, ils font bouger les lignes et proposent un modèle inspirant dans le domaine associatif Dans ce nouvel épisode, je suis entourée de Léa et de Thomas. Mais Aurélie, qui n’a pas souhaité participer à l’interview était tout à côté. Ce sont des Adhelphes, alors je ne vous dit pas ce que c’est car nous allons apprendre la définition dans l’épisode. On a parlé de ce qu’est un tiers lieu, ce mot un peu barbare mais aussi de la notion de communauté. En prenant l’exemple de ce qu’ils expérimentent au sein de leur association. On a aussi parlé d’auto gestion, même si on ne l’a pas nommé comme cela et de co responsabilité. Parce que ou ce tiers lieu n’a pas de salarié pour organiser ou faire le ménage….et vous savez quoi ? ca fonctionne très bien ! Ce n’est pas le chaos. Chacun prend ses responsabilités très à cœur contrairement à ce que l’imaginaire collectif pourrait laisser croire. On n’est pas chez les babas cools versions 2022. Et pour vous montrer que ce n’est pas un espace abstrait et qu’il s’y passe des choses très concrêtes, Léa et Thomas nous expliquent des exemples très précis d’actions mises en place aux Adelphes comme des ateliers crochets, sortie nature autour du sureau, brassage de bière, cercles de paroles…et même fabrication de pancartes pour les manifestations. Je ne sais pas si cela va s’entendre pendant l’interview mais j’avais des étoiles dans les yeux en discutant avec eux. Oui, on peut vouloir une autre façon de fonctionne, être idéaliste et être dans le réel. BONNE ECOUTE et n’oubliez pas de noter cet épisode s’il vous a plu et de me faire un retour via les réseaux sociaux. Cela m’encourage beaucoup. @auxadelphes